Les hommes, les matériaux et leurs outils

La pierre survit toujours à celui qui la cisèle, toujours à celui qui l’oublie

 

Simplement décorative à ses débuts, la sculpture devint vite indissociable de l’architecture. Afin de raconter l’histoire Sainte aux fidèles et de mettre en scène la lutte du bien contre le mal, on demandait aux sculpteurs de couvrir les églises de décors sculptés. On la trouve dans les endroits les plus prestigieux du monastère, sur le portail de l’église, ou encore sur les chapiteaux des colonnes de l’église et du cloître.

 

C’est l’abbaye auvergnate de la Chaise-Dieu qui décida de l’édification du prieuré de Sainte-Gemme, elle commandera les décors sculptés de l’église et du cloître de la fin du XIe siècle jusqu’aux guerres de Religion.

Les sculpteurs

Michaelis me fecit. Église de San Cornelio y San Cipriano, Revilla de Santullán, Palencia, Espagne, XIIe siècle
Michaelis me fecit. Église de San Cornelio y San Cipriano, Revilla de Santullán, Palencia, Espagne, XIIe siècle

Le travail manuel est une lecture sans fin, Pierre Gascar

 

Le terme de sculpture vient du latin sculpere qui signifie tailler. L’emploi du terme de sculptor est exceptionnel avant le milieu du XVIe siècle. Au Moyen Âge les désignations les plus fréquentes dérivent du latin imago (image), comme ymagiers et ses variantes, ymaginator, ymaginaire, factor ymaginum. Cela renvoie à la pratique technique du métier : tailleur ou entailleur d’images, encore appelé lapicide.

 

Les textes nous donnent peu d’informations sur ces hommes, quant à leur mode de vie, leurs façon de travailler, les « influences » qu’ils pouvaient recevoir. Ils nous sont pourtant familiers au regard de leurs oeuvres qu’ils ont laissées partout en Europe.

 

Leur propre travail, rarement signé, ainsi que des enluminures médiévales peuvent nous en dire plus sur leurs outils, leur mode de travail et sur l’organisation du chantier. Pour réaliser les décors des façades, des portails, des fenêtres, des modillons et des chapiteaux, les sculpteurs devaient recouvrir la totalité de la surface de la pierre. Pour cela ils étirèrent, déformèrent leurs sujets pour qu’ils tiennent dans l’espace donné, c’est ce que l’historien de l’art Henri Focillon appellera la « loi du cadre » . Ils mirent en avant que ce qui était important, ils ne s’occupaient pas des détails inutiles : l’essentiel était que le fidèle comprenne le message que les clercs voulaient lui faire passer.

Pierre calcaire et carrières

Ouvriers dans une carrière de pierre, Barthélémy l'Anglais XVe s.
Ouvriers dans une carrière de pierre, Barthélémy l'Anglais XVe s.

L’une des principales richesses de la Saintonge est l’abondance de la bonne pierre de taille. Les pierres calcaires utilisées pour la construction des bâtiments du prieuré de Sainte-Gemme venaient très certainement d’une carrière proche du site.

 

En effet, il n’était pas rare d’ouvrir une carrière pour la construction d’un monument, château, église, à proximité de celui-ci afin de minimiser les frais de transport.

 

À Sainte-Gemme, la carrière la plus proche du prieuré connue aujourd’hui, se situe à environ trois kilomètres, au lieu-dit Les Brissonneaux. Une carrière de pierre est citée dans un acte de donation de Guillaume le Troubadour, fils du fondateur du monastère de Sainte-Gemme, entre 1091 et 1098. Peut être s’agit-il de l’une des carrières du prieuré.

 

Toutefois, la pierre pouvait venir d’autres carrières situées plus loin, quand le sous-sol ne possédait pas les pierres ou lorsque l’on recherchait une pierre particulière. Pour les plus longues distances les pierres étaient généralement transportées par bateau les carrières se situaient alors non loin d’un cours d’eau.

 

Selon la liste des Carrières de Charente-Inférieure au XIXe siècle, publiée par la revue Sefco en 1989, le département comptait pas moins de 21 carrières. Les carrières de Crazannes et de Thenac (déjà exploitées durant l’antiquité), de Saint Savinien, ou encore de Plassay sont aujourd’hui encore les plus connues.

 

Les outils pour la sculpture et la taille de pierre

Taillant (laye).
Taillant (laye).

L’ouvrier qui veut bien faire son travail doit toujours commencer par aiguiser ses outils,Confucius

 

La découpe des blocs de pierre de parement ainsi que le dégrossissage des futures pièces sculptées s’effectuait plutôt à la carrière. Ceci pour réduire le poids des pièces à transporter.

 

Pour dresser les faces et pour régler les dimensions du bloc l’outil le plus fréquemment employé était le marteau taillant droit (laye) ou à lame dentelée dit marteau bretté ou bretture.

 

Le taillant, connu depuis l’antiquité, est l’outil spécifique de l’époque romane.

 

La bretture est propre à l’époque gothique, à Sainte-Gemme on la trouve à partir du milieu du XIIIe siècle.

Tailleur de pierre muni d’une bretture, manuscrit d’Amiens, XIIIe siècle
Tailleur de pierre muni d’une bretture, manuscrit d’Amiens, XIIIe siècle

Lorsque les pierres devaient être recouvertes par un décor, les sculpteurs intervenaient alors dans une dernière étape.

 

Ils utilisaient des outils qui leur étaient spécifiques comme les poinçons et surtout les ciseaux plats ou creux (gouges) qui apportaient finesse et précision au travail du décor sculpté.  

 

Des ciseaux dentelés, les gradines, seront employés à la période gothique. Ces outils étaient percutés par des massettes, à tête en fer, ou par des maillets en bois.

 

La ripe, spatule dentelée ou plate, permettait de travailler les creux et les moulures complexes.

La sculpture au prieuré de Sainte Gemme

Emplacement des éléments sculptés au prieuré de Sainte-Gemme (source Mémoire de Master Nathalie Soline 2009)
Emplacement des éléments sculptés au prieuré de Sainte-Gemme (source Mémoire de Master Nathalie Soline 2009)

 

 

 

Sculptures romanes

 

En ce qui concerne la sculpture à Sainte Gemme, on trouve plusieurs phases de construction pour l’époque romane. Cela se traduit par une différence de facture.

 

Les chapiteaux du cloître ainsi que ceux de la croisée du transept semblent dater de la première moitié du XIIe siècle. Deux autres chapiteaux de la nef à décor géométrique, dateraient peut être de la même période.

 

Le reste des chapiteaux feuillagés de la nef et de l’avant nef appartiendraient quand à eux à la deuxième moitié du XIIe siècle. Les détails y sont beaucoup plus marqués. 

 

La façade Ouest

Très restaurée en 1870, la façade appartient aux modèles locaux : elle est tripartite et à deux niveaux. Les niveaux sont séparés par des corniches* à modillons*.

 

La corniche de modillons du premier niveau a fortement été modifiée pendant les restaurations du XIXe siècle. Néanmoins il en reste six qui sont d’origine. Deux d’entre eux  représentent des têtes d’animaux, tandis qu’un autre nous montre ce qui semble être un lion ailé. Un dernier modillon déposé après les restaurations est maintenant conservé dans le musée jouxtant l’église. Il montre la lutte d’un homme contre un serpent.

 

Au deuxième niveau la corniche est ornée de 21 modillons dont huit sont romans. Quatre montrent des têtes humaines, on a également deux humains adossés, un acrobate, une tête d’animal tirant la langue et un âne à l’hostie. 

 

Quelques définitions: 


* Corniche: Bande horizontale qui sépare chaque niveau.

* Modillon: pierre sculptée saillante, souvent décorée, placée sous une corniche pour la soutenir.

 

Les modillons romans de la façade ouest

La croisée du transept

Vue de la croisée du transept
Vue de la croisée du transept

Dans la croisée du transept* deux chapiteaux* sont encore lisibles, les corbeilles* sont décorées de motifs végétaux ou des bandes d’entrelacs superposées.

 

Ils semblent appartenir à la première étape de construction tout comme les chapiteaux du cloître.

 

A l'intérieur, entre la nef et  la croisée du transept romane, on a un arc diaphragme percé par une baie géminée. Deux chapiteaux soutiennent cet arc, celui de gauche est recouvert d’entrelacs et celui de droite représente des palmettes. 

 

Quelques définitions:

 

* Transept: Vaisseau transversal, séparant généralement la nef et le choeur. Il comporte deux bras ou croisillons. L’intersection entre la nef et le transept est la croisée du transept.

 

* Chapiteau: pierre taillée qui forme le sommet d’une colonne, souvent sculptée.

 

* Corbeille: partie centrale du chapiteau, elle peut être lisse ou sculptée.

Les sculptures du cloître roman

Dans le cloître* roman,  les arrachements de quelques voûtes et de treize colonnes partiellement conservées, nous permettent d’imaginer les galeries couvertes de voûtes d’arrêtes. Seules six ont conservé leurs chapiteaux.

 

Dans la galerie Nord, trois chapiteaux sont encore visibles, deux d’entre eux représentent des lions adossés ou affrontés. Le troisième est recouvert de chevrons inversés.

 

 Dans la galerie Est on a trois chapiteaux à feuillages qui pour certains s’apparentent aux sculptures de la crypte de Saint-Eutrope de Saintes et au chœur de l’église de Thézac.

 

Quelques définitions:


* Cloître: cour intérieure du monastère. 

 

Le Lion: roi des animaux au Moyen Age?

Physiologus de Berne IXe siècle
Physiologus de Berne IXe siècle

Soyez sobres, veillez. Votre partie adverse, le Diable, comme un lion rugissant, rôde, cherchant qui dévorer. Saint Pierre

 

Le lion est avec l’aigle, l’animal le plus souvent représenté dans l’iconographie occidentale tant Antique que Chrétienne. Il évoque l’idée de force et d’autorité. Dans la Bible le lion est un animal ambivalent : il peut être dangereux, cruel, brutal, rusé, impie ; il incarne les forces de mal, c’est une créature redoutable.

 

Ce lion cruel et sanguinaire, est celui qu’affrontent Hercule et Samson, celui du livre des psaumes et du livre de Daniel. Il a le poil raide et un long corps. Le Nouveau Testament fait du lion une figure du Diable.

 

Il existe aussi un bon lion, celui qui met sa force au service du bien commun, son rugissement exprime la parole de Dieu, c’est le plus courageux des animaux, à ce titre il est associé à David et à Salomon. Il a un corps court et les poils de la crinière bouclés.

 

Le lion est aussi à replacer dans l’héritage des auteurs grecs et latins. Isidore de Séville dans son Histoire naturelle, commence son livre VIII sur les quadrupèdes, il le qualifie de rex bestiarum, c’est-à-dire premier parmi les bêtes fauves.

Dans la Bible, le lion est le premier à entrer dans l'Arche de Noé, il est également le premier animal décrit dans le Physiologos* et dans les bestiaires*, car c'est le « Roi des animaux ».

 

Dans le Physiologos, le lion est décrit comme étant particulièrement vigilant, ne fermant même pas les yeux pour dormir, seul son corps est réellement endormi, son esprit reste en veille. Quand il marche dans les montagnes et qu’il sent le chasseur, il efface ses traces avec sa queue, de sorte que le chasseur ne puisse pas le suivre dans son antre et le capturer. Le lion effaçant ses traces est assimilé au Christ qui avait caché sa divinité à ses disciples.Selon les bestiaires médiévaux, les petits mis bas par la lionne seraient mort-nés et après trois jours dans les limbes, le lion les ramènerait à la vie en les léchant, en rugissant ou en leur soufflant dessus. Ce dernier trait associe le lion à la Résurrection du Christ.

 

Il ne craint aucun autre animal, sauf le coq blanc, il est devenu le roi des animaux au XIIe siècle et XIIIe siècle, au détriment de l’ours. S’il est bon il est généreux, l’ami des héros et le compagnon des saints. On le trouve également dans les fables ainsi que dans le roman de Renart.

 

À Sainte-Gemme on trouve deux chapiteaux représentant des lions affrontés ou entrecroisés dans la galerie Nord du cloître. Le thème des lions affrontés est très courant en Saintonge et dans le Poitou. Les lions affrontés et adossés sont des symboles qui puisent leurs sources dans les tissus coptes, dans les mosaïques romaines et byzantines, dans les ivoires ou encore dans les enluminures.

 

Quelques définitions:

 

* Physiologus: ce texte qui a été composé en grec à Alexandrie au IIe siècle après J.-C., est un des livres les plus connus au Moyen Âge. Ce traité d'histoire naturelle décrit le comportement de nombreuses espèces : les animaux réels : singe, lion, cerf, ours, aigle, paon, chouette, les animaux imaginaires composites : griffon (corps de lion et tête d'aigle), aspic (petit dragon), basilic (queue de serpent et corps de coq), phénix, licorne, sirène-oiseau ou sirène-poisson...Les monstres : cynocéphale (homme à tête de chien), sciapode (homme à une seule jambe et s'abritant dessous).


* Bestiaire: Des compilations des sources antiques apparaissent au XIIe et XIIIe siècle, ce sont des manuscrits, pour la plupart illustrés de miniatures qui regroupent des fables et des moralités sur les animaux réels ou imaginaires.

La salle capitulaire

Salle capitulaire Sainte-Gemme septembre 2012
Salle capitulaire Sainte-Gemme septembre 2012

Qui veut chapitrer le prochain, fasse d'abord son examen

 

Le mot chapitre désigne initialement la réunion journalière des moines pendant laquelle on fait la lecture d'un chapitre,capitulum, de la règle.

 

Dans un monastère c’est l’espace le plus respectable après l’église et qui remplit une triple fonction : liturgique, administrative et politique.C’est le lieu où se tient l’office de prime.

C’était également un lieu de rappel à la discipline ainsi qu’un lieu de décision concernant les affaires de la vie quotidienne. Les hôtes importants étaient reçus dans cette salle, qui était aussi l’endroit ou la communauté admettait un nouveau frère.

 

En général la salle capitulaire était accessible depuis la galerie Est du cloître, sa décoration peinte et sculptée marquait l’importance du lieu.

 

La salle du chapitre de Sainte-Gemme et ses éléments sculptés

 

Au prieuré de Sainte-Gemme seule une partie de la façade de la salle capitulaire est préservée. De dimensions réduites, la salle romane fut agrandie et voûtée en pierre au début de l’époque gothique.

 

Cet agrandissement s’explique par l’accroissement du nombre de moines passant de trois moines à une vingtaine au XIIIe siècle.

 

On y a alors édifié des croisées d’ogives qui reposaient sur huit cul-de-lampe* et sur une colonne centrale, qui garde encore sa base et la retombée de huit nervures. Le profil des nervures, et la sculpture des consoles nous permet de dater le voûtementde la salle aux alentours de la deuxième moitié du XIIIe siècle.

 

La salle du chapitre fut dégagée de son remblai au cours des fouilles archéologiques de 1982, toutefois la façade occidentale n’a retrouvé ses anciennes proportions qu’en 2003.

 

Seuls trois des huit cul-de-lampe de la salle capitulaire sont préservés. Deux sont en place : l’un à l’angle Nord-Ouest, avec un décor de feuillages caractéristique du XIIIe siècle et le deuxième, orné d’un basilic*, situé au milieu du mur occidental. Un troisième cul-de-lampe à feuillages et une clef de voute représentant une masque feuillu furent trouvés dans une ferme non loin du prieuré.

 

Quelques définitions:

 

* Cul-de-lampe: pièce disposée horizontalement et faisant saillie sur un parement. Il a un rôle décoratif.

* Basilic: Animal fantastique pourvu d'une tête et d'un poitrail de coq et d'une queue de serpent. Il peut tuer d'un simple regard.

 

Intérieur de l'église

L'avant nef

Avant nef de l'église début XX°S source base Mémoire MH
Avant nef de l'église début XX°S source base Mémoire MH

La nef de l’église est précédé par une avant nef  appartenant à la deuxième étape de construction. La présence d’une structure d’accueil est très rare dans les églises romanes saintongeaises. Les massifs de façade étaient par contre courants en Auvergne.

 

 

Les sculptures de l’avant nef nous montrent des chapiteaux à feuillages très travaillés. Le portail communiquant avec la nef, est composé d’une archivolte* à quatre voussures*, ornées de feuillages, de rinceaux*, de rosaces. Les deux premières voussures présentent des traces de polychromie de jaune, de noir et de bleu.  L’ébrasement* du portail est composé de trois colonnes de chaque côté. Elles sont coiffées de quatre chapiteaux à feuillages et de deux avec des motifs de vannerie. 

 

Quelques définitions:

 

* Archivolte: moulure, décoration contournant la surface extérieure d'un arc.

* Voussure: un des arcs emboîtés encadrant le haut d'une porte.

* Rinceau: composition végétale comportant une tige ondulante dont se détachent, des feuilles, des fleurs, des boutons ou des fruits.

* Ebrasement: élargissement en biais des parois latérales d'une baie.

 

La nef

Dans la nef on observe des éléments sculptés appartenant aux deux étapes de construction. Sur son ensemble de sculptures seuls neuf chapiteaux sont sculptés, les autres sont lisses.

 

Parmi ces chapiteaux six sont recouverts de feuillages, ils appartiennent à la deuxième étape de construction. Les trois autres chapiteaux sont à rattacher à la première phase . Sur deux d’entre eux on trouve des figures géométriques et sur le dernier un de quadrupèdes et des oiseaux qui sont sculptés en méplat sur une corbeille lisse. 

 


Les quadrupèdes pourraient être apparentés à des ânes à cause de leurs longues oreilles. Ils pourraient alors être comparés avec un chapiteau de l’église de Thézac . S’il s’agit d’ânes le problème de leurs pattes griffues se pose. On aborde ici le problème de la ressemblance entre le sujet sculpté et l’animal réel qu’il pourrait représenter. 

 

Le but de la représentation de ces animaux était plutôt de faire passer un message à travers la figuration de tel ou tel animal, soit à cause de sa symbolique pour l’homme médiéval, ou parce qu’il était présent dans les fables moralisatrices ou encore dans les sermons qui étaient faits au fidèles.

 

 


L'article:
Le Prieuré de Sainte-Gemme
Première implantation de la Chaise-Dieu en Saintonge
est dans :
Société Française d’Archéologie
Congrès Archéologique de France
177e session, 2018
Monuments de Charente-Maritime
Monastères en Saintonge

10 juin 2018, exposé pour le 177e Congrès archéologique de France dans l’ancienne prieurale de Sainte-Gemme

Sud Ouest 16/06/2018:

Le 177e congrès archéologique :

https://www.sudouest.fr/2018/06/16/l-archeologie-en-congres-en-saintonge-5151032-6997.php

 

 

le 1 août 2017, Visite du Soir du prieuré de Sainte-Gemme

 

Nous remercions les plus de deux cent visiteurs qui on découvert ou redécouvert le prieuré de Sainte-Gemme au cours de la Visite du Soir, organisée par le pays de Saintonge Romane avec l’aide de l’APAC, de la municipalité et de l’association GEMMElePRIEURÉ

 

http://www.sudouest.fr/2017/08/04/visite-de-nuit-3670639-6997.php?xtmc=visite+du+soir&xtnp=1&xtcr=1

le prieuré de Sainte-Gemme 17250

Sainte-Gemme,

11 Novembre 2016

GEMMElePRIEURÉ présente au Musée du prieuré (3 rue du Prieuré, 17250 Ste-Gemme) l’exposition :

Le 20 et 21 juin auront lieu les Journées du patrimoine de pays et des moulins ; le thème est « Le Moyen Âge encore présent ».

Au prieuré de Sainte-Gemme avec cette occasion sera présentée l’exposition : Effets 3D au prieuré !

Restitutions 3D, promenade virtuelle autour et à l’intérieur du monastère au temps du Moyen Âge.

Articles SUD OUEST:

http://www.sudouest.fr/2015/04/06/de-l-auvergne-a-la-saintonge-1882905-1642.php

et

http://www.sudouest.fr/2015/04/07/de-l-auvergne-a-la-saintonge-1883480-1642.php

Les habitants du prieuré de Sainte-Gemme ont le regret de vous faire part du décès de sa propriétaire Anne Audier, survenu le 14 décembre 2014, dans sa 94ème année.

Septembre 2014

La troisième édition de la brochure Le prieuré de Sainte-Gemme, HISTOIRE, ARCHITECTURE, SCULPTURE, RESTITUTIONS est parue !

Enrichie de nouveaux chapitres sur la sculpture, de restitutions et d’un DVD avec environ 40 minutes d’animations 3D présentant le prieuré, au temps du Moyen Âge.

Comme en quatorze !

L’exposition «Comme en quatorze !», retraçant l'histoire des soldats de Sainte-Gemme pendant la Grande Guerre, sera ouverte chaque dimanche entre 14h00 et 18h00 jusqu’au 30 Novembre 2014.


Ouverture toute la journée le 11 novembre 2014.

GRATUIT

 

INFORMATIONS :

Mail : prieure.stegemme17@gmail.com

https://www.facebook.com/prieure.saintegemme

Au prieuré de Sainte-Gemme est présentée une clef de voûte (XIIIe siècle) décorée d’un masque feuillu, provenant de la salle capitulaire, qui à récemment retrouvé son lieu d’origine grâce à une généreuse donatrice.

Article: Le prieuré de Sainte-Gemme, Relevé et restitutions

http://vialucispress.wordpress.com/2014/04/13/releve-et-restitutions-prieure-sainte-gemme-a-guest-post-by-andrei-vlad/

Noël 2013 : parution de Monastères entre Loire et Charente

 

Sur la couverture le cloître de Sainte-Gemme, à l’intérieur 2 articles sur ce prieuré saintongeais. PUR, editions (commander sur le site de l’éditeur, PUR :http://www.pur-editions.fr/detail.php?idOuv=3365&utm_source=parutions-ure-semaine-de-janvier-(bis)&utm_medium=e-mail&utm_content=titre&utm_campaign=annonce-des-dernieres-parutions)

 

Nous avons le plaisir de vous annoncer la naissance de « Gemme le prieuré » association de
mise en valeur du prieuré de Sainte-Gemme en Saintonge.